Une Clemenza di Tito, entre mythologie et écologie à l’Opéra Royal de Wallonie

…surtout le Sesto d’Anna Bonitatibus, habituée des rôles travesti, notamment mozartiens, splendide tant par le timbre que par l’agilité vocale, tant par l’implication dramatique que par le large éventail de nuances, qui emportent tous les suffrages à l’applaudimètre.
ResMusica, Benedict Hévry 31.05.2019