Anna Bonitatibus, mezzo-soprano italienne unanimement saluée dans le répertoire baroque, prêtait ses traits à Giunone/L’Eternitá. La richesse de son timbre, la subtilité de sa palette expressive et l’intensité de son engagement scénique servaient admirablement l’exigence stylistique de l’œuvre.
— Catherine Richarté-Manfredi | PerformArts 24.07.2025