Anna Bonitatibus offre un grand moment dans son air à Calisto après l’avoir défigurée, tout en mélancolie et dans un parfait mezzo qui s’éteint au fur et à mesure, dessinant la forclusion progressive du sentiment. Se toutes parts, on observe un art consommé de la ligne de chant préfigurant une forme de bel canto.
— Romain Daroles | Bachtrack 9.07.2025