“Espléndidos los tres protagonistas, empezando por el Ercole del bajo barítono argentino Nahuel di Pierro, pasando por la ya consagrada Anna Bonitatibus y acabando con la emergente Giuseppina Bridelli.”
Neue CD aus Salzburg: Der Erzengel greift ein
Joseph Haydns unbekanntes Oratorium “Il Ritorno di Tobia” in einer Aufnahme mit dem Mozarteumorchester unter Ivor Bolton.
Dazu tragen formidable Solisten entscheiden bei: der überirdisch schöne engelssopran von Lucy Crowe als Erzengel, Anna Bonitatibus als warmherzig-innege Braut Sara, Mauro Peter in der sohnesgütigen Titelrolle und das akkurate Elternpaar Bettina Ranch und Neal Davies.
DONIZETTI Enrico di Borgogna (DVD)
She does – triumphantly – because said seamstress is Anna Bonitatibus and bel canto is what she does best.
Bonitatibus’s softly bronzed mezzo is wonderfully agile, her technique superb in Enrico’s florid opening cavatina ‘Care aurette che spiegate’. Her coloratura is even but never showy. Why she’s not a superstar of the operatic firmament is anyone’s guess.
Rosinatibus
Si nous avons fait le chemin depuis Paris, c’est néanmoins pour entendre Anna Bonitatibus en pupille. […] C’est celle qui respire son Rossini avec le plus de virtuosité et sur une tessiture toujours aussi large. On aimerait se rouler dans ses graves puissants et larges, on déguste ses trilles, on exulte dans ces aigus certes parfois trop aérés. Les variations de la cavatine sont magistrales, les contrastes de la leçon de chant d’un naturel confondant, elle emporte vers ses sommets des partenaires qui donnent alors le meilleur d’eux-mêmes (« Dunque io son »), sans parler de l’actrice qui réussit à rendre poignants les trois mots de tristesse qui précèdent l’orage. Une Rosine royale et humble à la fois.